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Question au gouvernement à propos du plan d'action pour la robotisation des PME-PMI. - 13 avril 2011
Je viens de recevoir la réponse à ma question au gouvernement à propos d'un sujet d'importance pour l'avenir des entreprises de taille moyenne créatrices d'emplois en France :
La voici :
Texte de la réponse
Selon les statistiques internationales, parfois controversées faute d'être établies sur des bases suffisamment harmonisées, la France dispose d'un parc de robots industriels notoirement plus réduit que ses principaux voisins européens.
L'International Federation of Robotics recense près de 36 000 robots installés dans nos entreprises contre 63 000 en Italie et plus de 150 000 en Allemagne. Bien que les entreprises françaises installent davantage de robots depuis le début des années 2000, l'écart avec les autres pays s'amplifie chaque année : lorsque nos entreprises équipent leurs ateliers de 4 000 robots par an, les industriels italiens et allemands en intègrent respectivement 6 500 et 16 000.
De surcroît, la robotique française est très largement concentrée dans les grandes entreprises des industries automobiles et de la chimie-pharmacie. Il y a donc bien une particularité française en matière de sous-utilisation de la robotique par les petites et moyennes entreprises (PME), qui paraît rejoindre la préoccupation plus générale de l'accès insuffisant des PME aux nouvelles technologies de production.
Dans une conjoncture difficile pour l'investissement productif, en collaboration et en cofinancement avec le syndicat des entreprises de production (SYMOP), les services du ministère chargé de l'industrie (la direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services) ont réalisé une étude sur la robotisation des PME françaises afin de prendre la mesure du retard français et des freins de l'introduction de la robotique dans les PME.
Il existe encore en la matière des besoins non satisfaits dans de nombreux secteurs, notamment celui de la mécanique au sens large (décolletage, fonderie, travail et usinage des métaux) et, en particulier, sur un certain nombre de tâches pénibles de type chargement et déchargement, manipulation, parachèvement, ébavurage, détourage.
Parmi les pistes d'accompagnement des PME, qui sont actuellement à l'étude en termes de faisabilité, figure le lancement d'une action collective nationale ou régionale de soutien dont la forme et le financement restent encore à définir.
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